Le passé finit toujours par nous rattraper que cela nous plaise ou non. Cela peut être un présent ou une malédiction.
C'est parce que, quand je vais mal, toi tu es là.
C'est parse que, quand Tu vas mal, je ferrais tout pour toi.
On se soutient parse qu'on s'aime bien.
Parse que je t'aime parce que je t'aime parce que je t'aime.